a vue du désastre des autres lui fît accepter plus courageusement le sien
Elle-même s’était apaisée, depuis trois semaines qu’elle s’oubliait, chaque matin, à cette fenêtre : le grand chagrin de son abandon s’endormait, il semblait que la vue du désastre des autres lui fît accepter plus courageusement le sien, cet écroulement qu’elle avait cru être celui de toute sa vie. De nouveau, elle se surprenait à rire.